dimanche 13 novembre 2011
vendredi 16 septembre 2011
Ecole de cirque de Bordeaux
Vidéo lauréate du prix du public lors de la convention nationale française de Jonglerie de Rennes 2011.
lundi 1 août 2011
Actualité
Le questionnement de la connerie humaine
Le déménagement
La pluie
La renverse de mon esprit
La pâtisserie
L'envie de le retrouver
Le tri
Le froid l'été
La préparation à la rentrée
La découverte de mon rêve
Les bulles à Chalon
La dernière gorgée de bière
Le nouveau
L'avancement
Le spirographe
Le mois d'août
mardi 19 juillet 2011
Ecrire, c’est ranger le vrac de sa vie.
c'est ce qui explique ce qui va suivre, étant dans cette état je me met à regarder des films qui, pour moi, n'ont aucun sens démagogique. Et voilà que les films à l'eau de rose parlant d'amour, de relations, de sentiments, de sexe, de déclarations et de toutes autres turpitudes prennent places. Moi qui croyait que le romantisme télévisuelle était ridicule et incroyablement fictif.
Je me suis retrouvé face à un monologue de R. Duris, dans Les Poupées Russes :
C’est quoi ce bordel avec l’amour, comment ca se fait que l’on devient dingue à ce point, t’imagine le temps qu’on passe à ce prendre la tête là-dessus, quand t’es seul tu te plains : est ce que je vais trouver quelqu’un ?. Quand t’as quelqu’un : est ce que c’est la bonne, est ce que je l’aime vraiment et est ce qu’elle m’aime autant que moi je l’aime ? Est ce qu’on peu aimer plusieurs personnes dans sa vie ? Pourquoi on se sépare ? Est ce qu’on peut réparer les choses quand on voit que sa se barre en couille ? Toutes ces questions à la con qu’on se pose tous le temps. Pourtant on peu pas dire qu’on connait rien on est préparer, on lit des histoires d’amour, des contes, des romans d’amour, on voit des films d’amour, l’amour, l’amour, l’amour !
Comme des Poupées Russes, On passe sa vie entière à jouer à ce jeu là, on est curieux de savoir qui sera la dernière, la toute petite cachée depuis le début dans toutes les autres, on ne peut pas l’attraper directement, il faut les ouvrir l’une après l’autre en se demandant à chaque fois, est ce que c’est elle, la dernière ?