vouala ma rue, silencieuse, vielle, dont le voisinage se cache bien souvent.mais pourquoi dans la rue parallele se trouve autant de bruit, de monde ? et de suspense ?
Ici, le mystère règne, le sens unique empeche les accidents mais aussi les rencontres, je ne croise que la femme du bar,qui fumant toujours sa longue cigarette vers le levé du soleil(quand il y a lieu), le midi et la fin de journée. Ah qu'elle est si jolie, fausse blonde agée, attendant ses clients. Le seul habitué reste son chien, touffu et grisoullé.
Ici, le mystère règne, le sens unique empeche les accidents mais aussi les rencontres, je ne croise que la femme du bar,qui fumant toujours sa longue cigarette vers le levé du soleil(quand il y a lieu), le midi et la fin de journée. Ah qu'elle est si jolie, fausse blonde agée, attendant ses clients. Le seul habitué reste son chien, touffu et grisoullé.
ah, Emile Zola, nous pouvons penser au boulevard, mais rien de tel, la seule entreprise de la rue est une pompe funèbre, et oui que rêver de mieux ? C'est bien pour ça que la blonde n'a pas de client. Avez-vous déjà entendu après des funerailles, " un petit pour la route ?, un petit jaune frangin ? allez un demi pour la suite ? et qui se boirai un kawa les amis?" Oh que non les larmes sont bien sûr les premières aux rendez vous, elles s'engouffrent dans les verres de vins qu'une fois que nous ne trouvons plus de remède, le cerveau humain a besoin d'un temps avant cela. C'est pourquoi nous preferons se remettre au chaud dans les coins que nous connaissons le mieux avant d'entrée dans le bar de la fausse blonde.
Ah mais oui, il y a aussi le tatoueur... où je ne vois personne.
Avez-vous déjà vu une rue calme dominée par la tristesse des morts où l'espoir et la vie naissent dans le bar d'une fausse blonde, et d'un tatoueur inconnu ? et bien venez !
Lors du premier client, les dialogues s’enchainent, hop une aiguille par ci, un demi par là. Ah que cette journée fut belle...et vouala que la fausse blonde et le tatoueur passèrent un bon jour. Dorénavant ils savent les reconnaitre.(c'est peu être ça l'essentiel)
Lorsque l'on se met dos à tous cela, tous change de registre, il y a toujours du vieux mais du bon des maisons roses, violettes, jaunes, grises et blanches, et non je ne vis pas encore dans une maison orange. je devrais d’ailleurs leur suggérer. OoO des voisins, des vieux givordins, fort aimable. en face une famille vivant dans la lumière des ampoules électriques des le levé du JOUR! au dessus d'eux, un couple comme nous qui ouvre les volets qu'une fois par semaine, peut-être est ce le seule jour où il y sont ? ou alors leur appart' est grand et un coté ne sert pas a être éclairé ?
Et nous vouala, jeune et amoureux, sous le toit d'un vieux/rénové immeuble, plutôt mignon et pas cher, nous permettant de vivre comme on le souhaite.a que c'est beau...mais l'ancien lieu me manque, ne peut on pas mixer ?un peu d'amitié? un peu de monde, d'originalité, de diversité,de famille, d'amour.Je souhaiterais un mélange de la Rue de givors et du Cours de lyon.
et qui viendrais boire une blonde avec la fausse blonde et moi même ?
