mardi 19 juillet 2011

le jour où je parle bien anglais, je m'épouse !

Ça y est, il fait NUIT à 22h*

Je sombre avec le temps

Photo de ©Jéjé

Ecrire, c’est ranger le vrac de sa vie.

Je suis morose,
c'est ce qui explique ce qui va suivre, étant dans cette état je me met à regarder des films qui, pour moi, n'ont aucun sens démagogique. Et voilà que les films à l'eau de rose parlant d'amour, de relations, de sentiments, de sexe, de déclarations et de toutes autres turpitudes prennent places. Moi qui croyait que le romantisme télévisuelle était ridicule et incroyablement fictif.
Je me suis retrouvé face à un monologue de R. Duris, dans Les Poupées Russes :

C’est quoi ce bordel avec l’amour, comment ca se fait que l’on devient dingue à ce point, t’imagine le temps qu’on passe à ce prendre la tête là-dessus, quand t’es seul tu te plains : est ce que je vais trouver quelqu’un ?. Quand t’as quelqu’un : est ce que c’est la bonne, est ce que je l’aime vraiment et est ce qu’elle m’aime autant que moi je l’aime ? Est ce qu’on peu aimer plusieurs personnes dans sa vie ? Pourquoi on se sépare ? Est ce qu’on peut réparer les choses quand on voit que sa se barre en couille ? Toutes ces questions à la con qu’on se pose tous le temps. Pourtant on peu pas dire qu’on connait rien on est préparer, on lit des histoires d’amour, des contes, des romans d’amour, on voit des films d’amour, l’amour, l’amour, l’amour !

Comme des Poupées Russes, On passe sa vie entière à jouer à ce jeu là, on est curieux de savoir qui sera la dernière, la toute petite cachée depuis le début dans toutes les autres, on ne peut pas l’attraper directement, il faut les ouvrir l’une après l’autre en se demandant à chaque fois, est ce que c’est elle, la dernière ?

mon cerveau chamboule mon cœur ou l'inverse?

vendredi 1 juillet 2011

un jour, je serais


Peut-être que finalement, j'suis pas loin d'être forte.
Institut National des Sciences Appliquées,
Me voilà